Un des plus grands adages en médecine est primum non nocere, c’est-à-dire ne pas nuire.
Quand on pense relâchement, on pense tout de suite chirurgie :
- Relâchement des paupières, chirurgie des paupières,
- Affaissement de l’ovale et du cou, lifting cervico-facial.
Il faut bien garder à l’esprit que pour réaliser une chirurgie, le bénéfice doit être supérieur au risque, il faut donc que le relâchement soit déjà assez important pour que la chirurgie apporte une amélioration esthétique.
Il faut aussi être honnête, le relâchement, ça n’arrive pas en une nuit, et c’est souvent multifactoriel. Évidemment la qualité de la peau est importante, mais aussi les volumes, les soutiens, les contractions qui tirent le visage vers le bas…
Ces facteurs de vieillissement, de relâchement, peuvent être ralentis par la médecine esthétique, mais aussi par nos soins quotidiens. Je vous invite donc à relire les chapitres sur la prévention et les soins de la peau afin de retarder au maximum le temps de la chirurgie.